Atalay, président de Türk-İş : "Nous allons entamer les négociations sur le salaire minimum à partir de 7 785 lires"

Le président des affaires turc, Atalay, nous entamerons les négociations sur le salaire minimum à partir de mille lires
Le président de Türk-İş Atalay "Nous allons entamer les négociations sur le salaire minimum à partir de 7 785 lires"

Le président de Türk-İş, Ergün Atalay, a fait des déclarations avant la réunion sur le salaire minimum.

Certains des titres de la déclaration d'Atalay sont les suivants : « Une fois que le salaire minimum aura dépassé 50 jours plus tard, ces amis recevront leur salaire. Jusqu'à présent, nous avons essayé de ne pas parler de ces questions liées au salaire minimum. Cela fait 40 ans qu'on parle de salaire minimum. Türk-İş n'a pas participé le 36. Participation à 6 d'entre eux. La Commission du salaire minimum n'est pas une commission équitable. Le Conseil suprême d'arbitrage n'est pas une commission équitable. Ce sont les questions problématiques qui nous sont laissées depuis le 12 septembre. La commission est composée de 15 personnes. Nous sommes 5 personnes. Que nous le soyons ou non, ils l'ont mis en œuvre 34 fois jusqu'à aujourd'hui, lorsque l'employeur et le gouvernement se sont assis.

S'il y a une telle opportunité, il y a une commission équitable. Même s'ils sont tous au Smic à la commission. Tout le monde en parle depuis 5 mois. Chacun explique un chiffre. 10 mille 170 lires pour un seul travailleur. C'est facile de dire des chiffres. Les impôts affectent toute la société. Il y a 20 ans, l'impôt était de 20 fois le salaire minimum, aujourd'hui ce n'est même plus 5 fois. Ceux qui gouvernent le pays en matière de fiscalité doivent faire un règlement.

Le travail est en détresse, le travailleur est en détresse. Aujourd'hui, notre commission va commencer à négocier le salaire minimum à partir de la limite de faim de 7 785 lires, partout où nous pouvons aller au-delà. S'il y a un chiffre qui plaira à la société, s'il y a un chiffre qui plaira à la commission, s'il y a un chiffre qui plaira aux présidents, s'il y a un chiffre avec lequel je serai d'accord, nous nous assoirons et signerons ce. Nous avons fait la même chose hier et nous ferons la même chose aujourd'hui. Aujourd'hui, la commission ne siégera pas pour 5 mille 500 lires, le chiffre sur lequel elle siégera est de 7 mille 785 lires, ce qui correspond au coût de la faim d'un travailleur. Ce n'est pas notre offre.

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