Le gouvernement français tente de convaincre le fabricant de trains à grande vitesse Alstom

bombardier alstom
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Le gouvernement français tente de convaincre le constructeur de trains rapides Alstom: le gouvernement français a réagi à la décision du français Alstom, l’une des plus grandes entreprises internationales du secteur de l’énergie et du transport ferroviaire, de fermer la section de production de trains de l’usine de Belfort.

Alstom a annoncé la semaine dernière sa décision de déplacer l’usine de Belfort dans le sud du pays, où elle produit depuis 1880, à Reichshoffen, près du mètre 2018 de la frontière allemande, jusqu’à 200.

Le ministre des Finances, Michel Sapin, d'Alstom, la direction, les clients potentiels, les syndicats et les gouverneurs locaux de la région travailleront pour que la production se poursuive à Belfortta.

Le gouvernement français avait précédemment déclaré que la décision d’Alstom était brusque et que la décision avait été prise sans concertation.
L'employé 9 de l'employé 480 à Belfort, Alstom, comptant un millier d'employés 400, se verra proposer des travaux dans leurs installations dispersées dans la ville française 11 de la société, tandis que les installations de Belfort seront utilisées pour des activités de maintenance et de réparation.

Roland François, une des organisations les plus répandues du mouvement ouvrier en France, a déclaré qu'il espérait que derrière toutes ces évolutions, il n'y aurait pas d'avancée politique avant les élections présidentielles de 2017 et qu'il espérait que le processus aboutirait dans les meilleurs délais.

Alstom, qui produit des trains à grande vitesse pour des entreprises telles que TGV et Eurostar, ainsi que des métros, bénéficie du partenariat 20 du gouvernement français.

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